Dans quelques mois les municipales et les régionales vont focaliser l’attention des uns et des autres. Aussi sommes nous alles interviewer le maire de Toumodi Idrissa Kone le mercredi 17 aout pour en savoir plus sur ses intentions.

Monsieur le maire, vous vous battez beaucoup pour le bien être de la population en vue de donner une fière allure a votre commune. Avez vous l’intention de vous représenter a l’élection municipale?

Bien sur, ce serait une symphonie inachevée. Quand on nous élisait, c’est vrai que les batailles avaient commence, mais on n’a pas pense que le clivage politique allait être tellement prononce de telle sorte que si tu n’es pas dans un camp, c’est comme si tout ce que tu fais est difficile. Malheureusement, c’est ce qui est arrive, on s’est divise. Même pour le travail municipal qui pour moi est un travail de développement, on n’a pas pu travailler en harmonie. Si tu es dans un camp et que tu n’es pas dans l’autre, tu es combattu, alors qu’il y a des compétences, Il y a des personnes qui peuvent être de l’autre bord et qui ont un réseau de connaissances qui peuvent t’aider dans ton travail. Dieu merci, Dieu qui sait tout faire, les  » papa  » (Le président Alassane Ouattara et ses deux prédécesseurs Henri Konan Bédié et Laurent Gbagbo)même, se sont appelés et se sont rencontres comme pour calmer le jeu et indiquer la voie de la paix. Pour revenir a la question, on a voulu faire un certain nombre de choses, on n’a pas pu réaliser tout. Peut être que nous sommes a 70 pour cent, mais tel qu’on voulait travailler avec l’appui de l’Etat, de tout le monde, on n’a pas pu. Il reste quelques chantiers clés. Je parle du plan d’urbanisation qu’on a démarre et qui n’est pas encore fini, le plan d’assainissement qu’on a entame, il est clair que j’aurai besoin d’un second mandat pour parachever cela, mais pire, on a connu a Toumodi la grande crise de l’existence de cette ville depuis deux siècles. Nous sommes sur le chemin des aines, nous sommes en train de renforcer la cohésion, on n’a pas encore fini, ce serait malheureux que je laisse cela et que je parte. Il faut que je travaille a la cohésion, au vivre ensemble véritable dans ma commune. Quand je fais cela, alors ce sera mon second et dernier mandat. J’ai dépose ma candidature a la candidature et je me soumets a l’arbitrage du président du parti. « 

Mienmo