Toujours présents mais jamais servi . C’est du moins ce sentiment de frustration qui habite toujours la presse
dans son grand ensemble. Ceux par qui tout est vu et su, elle n’a pas manqué à la tradition ce matin à la
présidence . Elle a été publiée. Tous ceux qui ce sont succédé aux pupitre n’ont eu aucun mot de
remerciement à la presse internationale comme nationale. Pourtant la mobilisation a été sans faille pour
relayer l’événement à travers le monde entier. D’aucun parle de5000 accréditations. Et ce matin à la
cérémonie elle a encore répondu présente. D’où vient le faiy que la presse soit toujours oubliée dans les
cérémonies de récompenses ? Le problème est si vieux qu’on se rend compte de la profondeur du mal.
Une autre frange acteurs clés de la victoire. Ces hommes ,ces femmes ces jeunes, vieux, enfants qui tout
donner de leurs temps de leurs énergies de leurs moyens financiers ont eux aussi été royalement oubliés.
Dans le discours du capitaine Celui qu’on a surnommé le Paul Biya du football ivoirien max Alain Gradel a
relevé le fait que allusion fait à ce merveilleux public qui a tout donné pour la réussite de cet événement.
Partout où les éléphants ont joué les ivoiriens ont répondus présent. D’où vient le fait qu’il soit pas remercié
officiellement devant la nation entière ? Qui gagne a saboter l’effort des uns et des autres autour de leur
équipe nationale ? Pour l heure toutes ces interrogations et agissements ne trouvent pas de réponse au
milieu de ce peuple qui pense qu’il mérite mieux
Bertin Didi
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